Initié en 2024 par le député Lionel Causse, président du Conseil national de l’habitat (CNH) à l’époque, un groupe de travail composé d’une vingtaine de membres a rendu son rapport fin juin «L’avenir du métier de syndic de copropriété et de son rôle dans la transition environnementale des immeubles collectifs».
Ce document, remis par Henry Buzy-Cazaux, rapporteur, brosse un portrait précis de la profession qu’il présente comme indispensable mais également critiquée de toute part.
Face à une société en perpétuelle évolution, le syndic s’adapte et joue un rôle clef dans la société d’aujourd’hui. Ainsi, le rapport souligne que de son engagement dépend la réussite de la transition environnementale des copropriétés, d’autant plus que 90 % de ces dernières sont gérées par des syndics professionnels.
Alors que la responsabilité des syndics ne cesse d’augmenter, l’avenir de la profession ne doit pas être laissé au hasard. Dans ce cadre, le Conseil national de l’habitat a émis quarante-cinq propositions.