Avec les copropriétés classiques, c’est l’autre objet juridique que sont amenés couramment à gérer les syndics professionnels, avec une frontière parfois un peu floue, comme avec les «copropriétés horizontales». Faire gérer une association syndicale libre (ASL) par un syndic est tentant car c’est la seule catégorie de professionnels pratiquant couramment la gestion de collectivités [attention nécessite la détention de la carte G – NDLR].
Problème : si peu de choses distinguent à première vue une ASL d’une copropriété, la réalité est qu’il s’agit d’entités juridiques radicalement différentes, ce que la plupart des syndics ignore.